J’ai entendu, l’hiver passé, dans une télésérie bidon à Télé-Québec, quelque chose qui ressemble à ça :
Avoir envie de prendre quelqu’un dans ses bras, mais avoir peur de le faire, c’est ça s’éloigner…?
De mon pauvre vécu j’adapterais la chose:
Prendre quelqu’un dans ses bras et ne sentir aucune chaleur humaine, la raideur d’un corps, d’un esprit qui n’est plus réceptif, c’est ça s’éloigner…?
Mais on boit, on parle trop et tout rentre dans l’ordre, presque tout.
Avoir envie de prendre quelqu’un dans ses bras, mais avoir peur de le faire, c’est ça s’éloigner…?
De mon pauvre vécu j’adapterais la chose:
Prendre quelqu’un dans ses bras et ne sentir aucune chaleur humaine, la raideur d’un corps, d’un esprit qui n’est plus réceptif, c’est ça s’éloigner…?
Mais on boit, on parle trop et tout rentre dans l’ordre, presque tout.
Presque.
Le temps arrange bien des choses, mais en fait fouarrer plusieurs autres aussi. Je m’évertue à dire que ça va passer…et ça passe…c’est vrai.
C’est, malgré tout, à mon sens : une belle histoire.
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