lundi 29 octobre 2007

La 20 et ses apports philosophiques

Je sais, c'est un autobus. Je dis quand même La 20.
...
Le transport en commun, malgré son côté "sauvons la planète" a le fâcheux inconvénient de nous faire attendre longtemps. Mon lieu de résidence étant radicalement le fruit de l’étalement urbain, je me permets de dire, longtemps longtemps. C’est souvent (ou pas) dans ces moments d’attente, que l’on s’adonne à des réflexions profondes (ou pas) sur le sens de la vie, nos aspirations et bla bla bla (N.B. La femme (i.e. Je) se remet en question, en moyenne, une petite fois par jour, une moyenne fois par semaine et une grosse fois par mois). Toujours est-il qu’en attendant l’autobus de 11h45 mercredi dernier, mon ami, l’homme qui aime bien se prendre pour un pirate, s’est à peu près écrié (sans crier) :

Quand est-ce qu’on va tout lâcher et vivre pour nos rêves.

Ou quelque chose comme ça, j’ai perdu le papier sur lequel j’avais noté en intégral la chose.

L’idée est quand même là.

3 commentaires:

KAT a dit…

ben... si tu as un idéal levac-ien, tu fais très bien d'attendre.

on en jasera par courriel.

et on fera des recommendations au ptit monsieur de l'Autre Mtl (allégorie au tour de Mtl en bus scolaire)

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jsuis pas cohérente ce soir

Matthieu Gadrat a dit…

"Quand va-t-on enfin tout lâcher pour vivre de nos rêves"

Josiane a dit…

Merci pour la rectification.

Ça m'apprendra à perdre mes choses.

Comme d'habitude!