mercredi 19 août 2009

Je te pète à la tronche

Le high de rencontre finit par crever.

Les illusions finissent par crever. Mais jamais complètement. Et c’est ce qui tue.

J’ai le pied enflé comme mon corps qui me dit de décolisser.

Ça va brûler vif là où on aime, comme une moton dans la gorge, dans l’estomac, un moton où on n’explique pas. Un gros nœud qui hurle que ça fait mal, de façon non cohérente, mais on comprend.


--

Mes coups de deux par quatre relationnels me donnent foi en mon imagination débordante.

J’y ai encore cru. Putain. NAÏVVVVEEEE

J’aurais peut-être moins été prise de cours par le speach sur l’amitié. Et la bean sur le bras : rof.

Tout ça m'est revenu d'un coup comme si j'avais tout oublié. Mon imagination qui m’a encore mise dans la merde.

Mes bogues d'imagination m’amènent à reconsidérer le décès de mon blogue : comme je reconsidère tout. Anyway.

C’est un projet de le refaire renaître. Comme la femme à la parade de la fierté gay qui brandissait sa pancarte : "Je suis née à 37 ans".
Un projet, ce n’est rien dans mon cas. Parfois quelque chose. Mais c’est un début.

--

- Ton blogue est tellllement déprimant
- Eillleeeeee
- Ça se voulait un compliment
¸ Vincent 15-08-09